J’ai pris le bus de 10h20 au terminal de la Rocha avec la compagnie Rutas del sol. Comptez 1h40 de trajet. Prix ; 7€. Une fois arrivée. Le gérant du logement est venu me chercher ce qui est très sympa à lui. Cela m’a évité 30 min de marche à pied en plein soleil. De plus, le logement n’est pas facile à trouve.
Hébergement : Modo Rocha Cabana 4 à Calle San Miguel 0122 M. Prix : 125$ à payer sur place. L’accueil est très sympa. Le logement est grand. Il y a même une petite piscine.
Punta del Diablo est un village de pêcheurs. Ambiance traditionnelle marquée par les pêcheurs et les artisans, qui vivent généralement dans de petites maisons en bois, se mélange avec l’état d’esprit hippie des jeunes surfeurs de Punta del Diablo, Il y a de très belles grandes plages protégées par les dunes ce qui fait qu’il n’y a pas de constructions aux abords.
Situé à quelques kilomètres de la frontière brésilienne, Punta del Diablo n’existe en fait en tant que village que depuis les années 1960, époque à laquelle l’endroit fut occupé illégalement par des pêcheurs venus capturer des requins dans les eaux voisines (l’huile de foie de requin était une exportation lucrative). Ces dernières années, la localité a vu son tourisme se développer considérablement. Elle comprend aujourd’hui près de 1000 habitants permanents et reçoit 20 000 vacanciers, Pour ma part, j’y étais début février et comme vous pouvez le voir sur la photo, il n’y avait pas grand monde sur la plage.
Au programme de la journée : plages notamment celles de Los Pescadores et de la Viuda qui sont situées à 15 min à pied du logement.
Où boire un verre ? Au Luna Bar. Ils ont des bières artisanales dont une aux fruits de la passion très bonne. Ils servent aussi de bonnes pizzas. Prix de la bière : 220 pesos.
Où manger ? Surtout pas chez Euphoria. Restaurant tenu par des belges qui servent des croques monsieur dégueulasses. Ne vous fiez pas aux avis.
AMAR Parador a l’air d’être un bon choix.