Jour 2 – Montevideo

Comment se rendre en centre ville ? Plusieurs bus publics (Compagnie COPSA) s’y rendent (700, 710, 711…). L’arrêt se trouve juste en face de la sortie. Le ticket m’a coûté 95 pesos. Comptez 1h de trajet. N’ayant pu changer des euros en pesos uruguayen en France, j’ai été obligé de changer de l’argent à l’aéroport. On sait que ce n’est pas là qu’on aura le meilleur taux de change donc changez juste un peu comme 20€ et vous changerez le reste en centre ville. Les bureaux de changent pullulent en ville vous pouvez notamment vous rendre chez Red Pagos. Un euros équivaut à 42.3 pesos.

Combien faut-il de liquide ? Pour ce voyage j’ai fait le choix de retirer de l’argent en amont et de le changer sur place. Ma banque me facturant des frais à l’étranger. Cependant, en Uruguay si vous payez les hôtels et les restaurants en CB, on vous déduit la TVA car vous êtes touriste. Cela vous reviendra donc moins cher que les prix affichés. ça vaut donc le coup, même si vous avez des frais. Pour vous donner une idée, j’ai utilisé 17 000 pesos pour une durée de 10 jours sur place sachant que beaucoup de mes hébergements n’acceptaient pas la carte et que j’ai payé l’un deux en dollars. Côté dollars, j’avais trop pris, je n’ai eu besoin que de 250$. Dollars que j’ai donc utilisés pour un logement en Uruguay et à Buenos Aires où je suis allée y passer 3 jours en fin de voyage.

Où dormir ? J’avais opté pour Edificio Quijano pour 2 nuits au 1261 Carlos Quijano.
Prix : 2 760 pesos à payer sur place soit 66€. L’emplacement et la chambre sont biens mais la salle de bain n’est pas top comme toutes les salles de bains de mon voyage en y réfléchissant. Mais cet hébergement est un bon rapport qualité prix sachant que j’avais une chambre triple. L’accueil était très sympa !

Quoi voir ?

La Plaza Matriz : Point de départ obligatoire de toutes visites de la vieille ville, elle est un symbole incontournable et un élément emblématique de la ville de Montevideo. Ancienne place principale de l’époque coloniale, elle a été le théâtre de nombreux événements historiques pour le pays. On peut y admirer le bâtiment du Club Uruguay ainsi que le siège du Partido Nacional, œuvres de l’ingénieur italien Luigi Andreoni. Véritable lieu de rencontre pour les Montevideanos, la place accueille plusieurs événements culturels tels que des concerts, des manifestations et des festivals.

  • La cathédrale de Montevideo, également connue sous le nom Iglesia Matriz, fut bâtie en 1790, mais ne fut inaugurée qu’en octobre 1804. Plus grand centre catholique de tout l’Uruguay, elle est dédiée à l’Immaculée Conception et aux apôtres Felipe et Santiago. Au cours des trois derniers siècles, elle fut le théâtre d’un grand nombre d’événements d’importance historique, politique et, bien sûr, religieuse. Ses tours ont longtemps été le point culminant de la ville et ont même servi de phare durant le siège de Montevideo (1843-1851). Elle fut nommée monument historique national en 1935.

  • La calle Sarandi : Son histoire remonte à l’époque coloniale, lorsque Montevideo était une petite ville fortifiée. cette époque, elle servait de principale voie de communication entre la citadelle espagnole el les zones rurales environnantes. Aujourd’hui c’est une belle rue piétonne, bordée de boutiques et de restaurants qui s’adresse autant aux travailleurs qu’aux touristes relie la Plaza Independencia à la Plaza Matriz, traversant ainsi le centre historique de la vile
  • La plaza Fabini inaugurée en 1964, est également connue sous le nom de Plaza del Entrevero en raison de la fontaine éponyme installée ici. Elle marque le début de l’avenue Libertador menant au Palacio Legislativo. Au centre de la place se trouve le monument El Entrevero, réalisé par José Belloni en hommage aux combattants de l’indépendance. Le sous-sol abrite le centre d’expositions SUBTE qui propose régulièrement des expositions d’art plastique intéressantes, bien que la salle soit plutôt modeste (ouvert du lundi au samedi de midi à 19h).
  • La Plaza Independencia où se trouve le Palacio Salvo. Érigé en 1927, il était alors le plus haut bâtiment d’Amérique du Sud. Et n’oubliez pas d’aller sous la statue du Général Artigas pour voir son mausolée. Cet espace souterrain est surveillé en permanence par deux gardes en uniforme et armés

  • Le museo Andes 1972 (Ferme à 17h) Prix du billet 600 pesos. Ce musée retrace un épisode dramatique qui fit le tour du monde en 1972. Il s’agit du crash du vol 571 dans la cordillère des Andes. Ce petit avion qui reliait Montevideo à Santiago transportait à son bord 45 passagers, dont une équipe de rugby, qui se retrouvèrent piégés dans les montagnes à 4000 m d’altitude. Quelques survivants du crash survécurent malgré l’abandon des recherches, notamment en mangeant les corps des victimes conservés par le froid. Ils furent secourus 72 jours après l’accident.

Où manger ? Au Mercado del Puerto chez Cabaña Verónica, pour goûter les spécialités de grillades. Prix pour une viande et une bière : 1278.35 au lieu de 1529 pesos grâce au paiement par carte.


Où boire une bière ? A la microbrasserie Ciudadela Bar surtout si il fait beau, c’est très sympa d’être en terrasse. Prix d’une pinte 180 pesos au lieu de 220 grâce au paiement par carte.

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