Jour 17 – Portoroz – Piran

Prendre le bus (compagnie Arriva) entre 15 et 30 min – 1.8€ pour Portoroz. Si vous n’êtes pas trop fatigué rendez-vous à l’office du tourisme pour y louer un vélo afin de se rendre au parc naturel des salines (Secovlje) en passant par Forma viva (jardin de sculptures).

Pour ma part je me suis posée à Portoroz au bord de l’eau sur un ponton puis j’ai rejoins Piran à pied. N’allez pas à Portoroz pour ses plages car on ne peut pas décemment appeler ça des plages, il n’y a que du béton. C’est très touristique bien que le lieu n’a aucun charme.

Le parc naturel des salines de Secovlje : Cette zone de marais salants couvre 750 hectares. Sillonnée de canaux et de digues, elle héberge une grande variété d’oiseaux. Le parc est divisé en deux parties : au nord, celle de Lera qui s’étend jusqu’au sud de Seča et celle de Fontanigge, au sud qui rejoint la frontière avec la Croatie. Il faut passer par la douane slovène pour y accéder, attention donc à ne pas oublier votre passeport. Lera et Fontanigge n’étant pas reliées (le canal Drnica les sépare), il faudra utiliser une entrée différente pour accéder à l’une ou à l’autre. Etre en vélo est idéal pour la parcourir.

Lera, où l’on récolte toujours le sel selon des méthodes traditionnelles, comprend un centre d’information multimédia (gratuit) et un café. Un magasin vend également des produits en provenance des salines de Piran (sel de cuisine et cosmétiques).

De retour à Portoroz, rejoindre Piran à pied (3/4 d’heure) ou bien en bus (10 minutes)

Où déjeuner ? Chez Gostišče Pirat sur le port. J’y ai pris des gnocchis aux gambas et une bière pour 13.5€. Très bon mais les gambas n’étaient pas décortiquées, ça peut déranger certains je préfère le signaler.

Quoi visiter ?

Tartinijev trg : Aujourd’hui pavée de marbre, cette place ovale aux tons pastel recouvre le port intérieur comblé en 1894. La statue de l’élégant gentilhomme au centre est celle de Giuseppe Tartini (1692-1770), compositeur et violoniste né à Piran.

À l’est se dressent l’église Saint-Pierre de 1818, et, en face, la maison de Tartini, lieu de naissance du compositeur.
Le tribunal et la mairie du XIXe siècle à arcades s’imposent à l’ouest de la place.
À l’entrée de la place, les piliers en pierre (XVe siècle) de deux mâts arborent des inscriptions en latin à la gloire de la ville, le blason de Piran, un bas-relief de saint George (saint patron de la ville) sur la gauche et un autre de saint Marc (avec son lion) sur la droite.

Au nord-est de la place, l’un des plus beaux édifices de Piran. Une demeure vénitienne, à la façade rouge, avec sa loggia, son balcon et ses fenêtres gothiques (milieu du XVe siècle).

Le monastère des Frères mineurs possède un charmant cloître à l’ombre de l’église abbatiale Saint-François-d ’Assise fondée au début du XIVe siècle, puis agrandie et rénovée au fil des siècles. Elle comporte des fresques au plafond et abrite le caveau de la famille Tartini.


Pour finir la journée prenez-vous un verre sur le port et / ou posez-vous sur la petite plage.

Prendre le bus pour retourner à Izola depuis la gare routière située après le port, logiquement vous y êtes passés à arrivant. Tarif : 2.3€

Où dîner ? Ne trouvant pas de place chez Gostilna Sidro, je suis retournée au restaurant de l’hôtel Marina. J’y ai pris une eau pétillante, des pâtes aux truffes et une crème brulée pour 26.5€

Distance parcourue : 7 km

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